- Albert : c’est la fin
- Albert, conformiste.
- Albert, génie en prêt
- Albert dans le sud
- La vie en rose
- Albert, Camus ?
- Un classique
- Albert, Le retour
- Al Capone
- Le Boucher Sylvestre suivi du Penseur
- L’eschatologue, non l’ex-catalogue, non plus, merde, c’est quoi déjà ?
- L’échelle, 2
- Les chéries ?
- Les bras m’en tombent
- On se voit, on se voit plus
- Perché (sur l’échelle)
- L’art moderne
- Plus vite que l’éclair
- Albert hôtesse de l’air
- L’horizon des évènements
- Albert mais pas Einstein
- Albert : télescopage
Albert m’épate. Il m’émerveille. Il est une source constante et inépuisable d’irritation et d’inspiration. Mieux encore, je n’ai qu’à recueillir les perles qui lui tombent de la bouche sans y rien changer : il fait tout le boulot pour moi. Et parfois, je me demande s’il n’est pas télépathe pour lire dans mes pensées. Sans rigoler. Non parce que quand même, Albert, ça n’est pas son vrai nom n’est-ce pas, c’est un surnom soigneusement choisi sur mesure (voir dans ce post ci) et jamais au grand jamais je ne l’appelle comme ça en vrai. Pourtant, ce matin, Albert en véritable artiste contemporain qu’il est (voir ce post là), dessinait cela :

De quoi se poser des questions…