L’échelle, 2

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Albert : À deux quatre-vingt sur cinq qu’ils nous demandent un service.

À moi d’essayer : Sur une échelle de 2 à 5, à 2 ils nous foutent la paix, de 2 à 2 quatre-vingt, ils nous demandent un service, de 2 quatre-vingt à 2 quatre-vingt dix, ils nous demandent de bosser un minimum et à 3, ils nous pètent carrément les noix.
À 5 c’est le burn-out…

Le Boucher Sylvestre suivi du Penseur

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Albert : Il faudrait dépecer les arbres.

Mais pourquoi tant de haine ?

Albert : Je pense que je réfléchis trop

Ne te fais pas une entorse aux neurones Albert, ça me fait mal de dire ça mais si tu n’étais pas là, tu me manquerais. Et puis comment ferais-je pour ma récolte de perles si je n’avais pas ma pinctada albertii ?

Al Capone

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Albert : Les mecs avaient les bourrelets plus prohibés que les miens. Enfin ils avaient le bas ventre étoffé quoi.

C’est l’avantage de la Prohibition, les bedons de bière ont disparu. Enfin je crois.

Un classique

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Pas de grande invention ces jours-ci mais du très classique, toujours bon à réentendre :

Albert : Si ce serait facile, tout le monde le ferait.

[itg-tooltip qtiptrigger= »responsive » tooltip-content= »<p>Je dis ça souvent à propos d’Albert non ? Comme quoi c’est (pas) que des conneries…</p> »]CQFD[/itg-tooltip]

Albert, génie en prêt

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Albert m’épate. Il m’émerveille. Il est une source constante et inépuisable d’irritation et d’inspiration. Mieux encore, je n’ai qu’à recueillir les perles qui lui tombent de la bouche sans y rien changer : il fait tout le boulot pour moi. Et parfois, je me demande s’il n’est pas télépathe pour lire dans mes pensées. Sans rigoler. Non parce que quand même, Albert, ça n’est pas son vrai nom n’est-ce pas, c’est un surnom soigneusement choisi sur mesure (voir dans ce post ci) et jamais au grand jamais je ne l’appelle comme ça en vrai. Pourtant, ce matin, Albert en véritable artiste contemporain qu’il est (voir ce post là), dessinait cela :

De quoi se poser des questions…