*Le paquet

J’entre dans le hall. Comme chaque jour j’ai un frisson d’impatience qui me noue le ventre en approchant la boîte aux lettres. J’ouvre. Enfin ! Je saisis le paquet, il n’y a pas de destinataire et je me demande vaguement comment il a ouvert la boîte pour le déposer là. Soudain fiévreuse, je me rue dans l’escalier et déverrouille rapidement la porte de mon appartement. Comme je dépose enfin le paquet attendu sur la table du salon, mon téléphone sonne. C’est lui. Comment sait-il toujours à quel moment exact appeler ? J’ai cherché à savoir d’où il m’observait sans y parvenir. C’est un peu effrayant mais j’ai une confiance totale. Je décroche.

– Allo ?
– Met le haut parleur.
Je m’exécute, excitée déjà par le seul son de sa voix ferme.
– C’est fait.
– Bien. Maintenant pose le téléphone sur la table. Va ouvrir la fenêtre.
J’obéis à chacun de ses ordres sans délai, je sais qu’il me voit, je sais que la moindre hésitation aura des conséquences. J’habite au premier et la baie vitrée grande ouverte révèle l’intérieur de mon salon. Il suffirait aux passants de lever les yeux un instant, aux voisins de l’immeuble en face de lever la tête de leurs bureaux pour me voir. J’anticipe avec plaisir ce qui vient.
– Reste devant la fenêtre. Déshabille toi.
J’enlève mon boléro de jeans et je le laisse tomber à mes pieds, puis je défais un à un les boutons de ma chemise. Sans traîner, je fais durer autant que je l’ose, sachant qu’il aime cet effeuillage presque public. Mes doigts ont ouvert le dernier bouton et j’écarte enfin les pans légers, révélant la rondeur de mes seins nus. Un grognement dans le téléphone révèle qu’il ne s’attendait pas à l’absence de soutien-gorge. J’ouvre très vite mon jeans maintenant et je le descends lascivement le long de mes jambes. J’ai tourné le dos à la fenêtre pour qu’il profite du spectacle de mes fesses qui se lèvent comme le pantalon descends. Je dégage rapidement les chevilles et me redresse mais je reste dos à la fenêtre. Je commence à jouer avec le boxer qui révèle la rondeur mes fesses, faisant coulisser le tissu d’avant en arrière, le descendant très lentement comme j’ai fait avec le jeans. Mes fesses nues sont tournées vers le haut, révélant sans doute la fente tendre et la rosette qui s’y niche, les lèvres gonflées qui commencent déjà à laisser échapper mon jus intime. La culotte rejoint le reste de mes vêtements, je me redresse et je fais face à la fenêtre, révélant ma nudité à tous. Il n’a pas dit un mot.
– Tu vois ce bureau juste en face ? Regarde bien et ne bouge pas.
Je rougis violemment. Dans le bureau indiqué, un homme me regarde, manifestement ému. Il sursaute soudain, comme tiré d’une transe et se détourne pour décrocher son téléphone. Je le vois reposer le combiné et se tourner vers moi, ouvrir la fenêtre et commencer à retirer sa cravate. Je n’en crois pas mes yeux. Je sais déjà que lui aussi obéit au Maître mais je n’ose y croire. Cet homme est dans son bureau, où n’importe lequel de ses collègues peut entrer à tout moment et il obéit à la voix, comme je l’ai fait, ôte ses vêtements l’un après l’autre, dégage une épaule large, puis l’autre. Révèle un ventre ferme, des cuisses musclées. Se penche pour ôter son boxer : il est nu devant moi, le sexe à demi dressé et je suis hypnotisée. La voix du Maître me fait sursauter à mon tour.
– Désires-tu le voir se branler ?
Je ne fais pas confiance à ma voix aussi je hoche la tête. La voix sonne comme un fouet.
– Dis le !
– Oui Maître, j’aimerai beaucoup le voir se branler.
De l’autre côté de la rue, je vois que l’homme parle aussi et hoche la tête. Sa main se pose sur son membre et il commence à se caresser.
– Je veux que tu te branle aussi, en même temps que lui.
Je n’ai pas attendu la fin de sa phrase, c’est ce que j’espérais. Mon ventre est en feu et mon sexe dégouline, je pose mes doigts tout près de mon bouton si sensible et déjà je leur impose un rythme frénétique.
– Prends une chaise et assieds toi devant la fenêtre.
Je déteste devoir m’interrompre mais je ne proteste pas, je n’ai jamais regretté ce qu’il m’impose. Je m’assieds sagement devant la fenêtre, les jambes jointes. Je regarde le sexe qui me fait face gonfler, foncer. Je le devine dur comme de l’airain et j’ai envie de le sentir emplir ma bouche et posséder ma chair.
– Écarte les jambes. Bien, écarte tes lèvres maintenant, je veux qu’il voit à quel point tu le désire.
Je fais ce qu’il dit, caressant chaque pli sensuellement avant d’ouvrir mes pétales charnus. Mon odeur envahit mes narines comme un parfum capiteux.
– Superbe…
En face la main a accéléré le rythme et mes doigts l’imitent.
– Enfonce un doigt dans ta fente.
Sans hésiter je laisse ma main gauche descendre entre mes cuisses et j’introduis mon majeur le plus profondément possible dans ma chair brûlante. Je n’ai le temps que de lui imprimer quelques mouvements de piston délicieux quand la voix claque, impérieuse.
– Pas cette fente là, l’autre !
Tremblante, j’ôte mon doigt mouillé et descends ma main un peu plus. Mon majeur humide pénètre en douceur dans la fente serrée et je suis déjà sur le point de jouir. J’ai tellement envie de sentir le membre durci de mon voisin envahir mon sexe que c’est presque douloureux, des vagues de plaisir me secouent, je sens mon cul se resserrer par spasmes autour de mon doigt qui frotte toujours la chair tendre. Je ferme à demi les yeux sous la jouissance qui m’envahit. Je les rouvre juste à temps pour voir mon voisin éjaculer puissamment. Je reprends mon souffle en le regardant et il fait de même. Il me sourit et commence à se rhabiller. Je ne bouge pas, je n’en ai pas reçu l’ordre.
– Debout. Va chercher le paquet et reviens t’asseoir. Ouvre le.
J’arrache le scotch. À l’intérieur, posé sur un ballot de tissu, un plug de dimension moyenne, orné d’un cabochon de métal gravé d’un motif complexe. Je suis intriguée, l’objet semble de meilleure qualité que ce que l’on trouve dans le commerce mais je n’ai guère le temps de m’y attarder.
– Mets le. Il y a un tube de gel, tu peux en mettre un peu si besoin.
Je n’ai jamais utilisé de genre de choses et je me demande si je vais pouvoir marcher avec. Un pied sur la chaise, j’écarte mes fesses un peu gauchement. J’ajoute une noisette de gel et j’essaie de l’enfoncer doucement. À ma surprise, l’objet pénètre presque soyeusement. Le froid du métal envoie des frissons vers ma nuque et mes orteils. Je m’assure qu’il est bien inséré et je me redresse. Je roule un peu les hanches, étonnée de ne sentir aucune gêne. Je sens la présence étrangère qui masse délicieusement mon arrière train et me donne envie de rouler les fesses en marchant.
– À présent mets les vêtements que j’ai choisis pour toi.
Je retourne le carton pour examiner son contenu. Une jupe bleu clair à fleurs, un chemisier écru très transparent, un gilet de lin bleu assortie qui a l’air un peu petit, le genre de gilet sans manche qui a l’air de faire partie d’un costume trois pièces. Aucun sous vêtement. J’ai la gorge sèche, qu’a-t-il en tête ? J’enfile la jupe. Elle m’arrive à mi cuisse et s’évase largement. Le tissu n’est pas très lourd, un bon coup de vent… je tourne sur moi même et la corolle s’envole comme je le soupçonnais. Je boutonne le chemisier. un coup d’œil dans le miroir, mes aréoles sont bien visibles malgré leur pâleur. Je mets rapidement le gilet. Il est trop petit, impossible de fermer les boutons. Je tire dessus mais c’est peine perdue, il couvre tout juste mes seins mais laisse bien visible une bande de 10 bons centimètres, révélant l’absence flagrante de lingerie. Je boutonne le chemisier jusqu’au cou mais la voix m’interrompt.
– Ouvre les trois boutons du haut. Il y a des élastiques au fond, attache tes cheveux en chignon.
Très consciente que ma posture relève ma poitrine et écarte les pans de la jaquette, j’attache consciencieusement mes cheveux. J’en profite pour observer le bureau d’en face. Mon voisin s’est rhabillé et a nettoyé le sperme. Il discute avec une jeune femme qui me regarde, hébétée. Je lui adresse un sourire éclatant et elle se détourne, troublée.
– Mets les chaussures.
Au fond du paquet, une boîte à laquelle je n’avais pas prêté attention. Dedans une paire de chaussures que je ne suis pas sûre de savoir porter. Des talons de 10 cm, pas aiguilles heureusement, sous des sandalettes blanches minimalistes. Je m’y perche, ça va mais je n’irai pas loin à pieds.
– Tu peux éteindre le haut parleur maintenant.
Dès que je porte le téléphone à mon oreille, il enchaîne.
– Sors. Ne prends pas ton sac, ni tes clefs, seulement le téléphone.
Laisser mon appartement ouvert me dérange mais j’ai l’habitude de lui obéir sans discuter. Je sors, je ferme la porte et je descends les escaliers.
– Traverse la rue.
Il ne va pas quand même m’envoyer voir ce type ?
– Va à gauche, jusqu’au bout de la rue.
Je marche. Il y a quelques passants, qui se retournent sur moi. Je rougis, violemment consciente de ma tenue plus qu’indécente.
– Monte dans le taxi.
Je grimace, il va falloir m’asseoir… J’y parviens, sentant le plug qui me laboure. C’est curieusement excitant. Le taxi démarre sans attendre mes instructions. Je suis soulagée de ne plus être exposée aux regards de mes voisins et je me détends un peu, me demandant ce qui m’attend. Le taxi s’arrête, sans un mot. La voix du Maître continue ses instructions.
– Descend.
Je suis sur une place. Il y a du monde. Des touristes, des bureaucrates, des vendeurs à la sauvette. Quelques uns me dévisagent déjà.
– Derrière toi, traverse la rue. Numéro 4.
Je repère le 4 et je cours presque, espérant m’y mettre à l’abri des regards. Je pousse la porte et me trouve dans un hall sombre.
– La porte à droite.
J’ouvre. La pièce est plongée dans le noir à l’exception d’un cercle éclairé du dessus par un spot. Elle semble grande mais c’est difficile à évaluer.
– Avance dans la lumière. Il y a un bandeau par terre. Tu vas éteindre le téléphone, le poser et mette le bandeau sur tes yeux.
J’exécute en silence. Je me sens vulnérable ainsi exposée, les yeux bandés, avec ma chemise transparente et ma jupe qui couvre à peine mes fesses nues, un plug dans le cul. Le Maître m’a guidée par téléphone et je ne suis même pas sûre qu’il soit là. Soudain une main ferme saisit ma nuque et me pousse en avant.
– Avance.
C’est lui. Le soulagement qui m’envahit soudain me donne la mesure du trouble qui était le mien. Sa main se resserre, propriétaire et je m’arrête. Je suis à lui et il le sait. Une main saisit mon bras gauche et le tire en arrière. Puis une autre fait de même avec mon bras droit. Il y a un deuxième homme ! Des mains m’ôtent le gilet et alors que mes bras sont toujours immobilisés, je sens deux mains empaumer mes seins. Combien sont-ils ? J’ai joui il y a moins d’une heure mais je sens mes seins pointer comme deux framboises jumelles. Elles sont soudain gobées à travers le tissu par deux bouches goulues. Je ne peux plus retenir mes gémissements. Derrière moi le Maître caresse mes épaules, les griffe, les embrasse, les mord, sans jamais relâcher sa prise sur ma nuque. Je suis en feu, mes cuisses inondées de mouille, mes jambes me portent à peine et je tremble. Des mains arrachent mon chemisier et je sens enfin les langues qui sucent mes tétons mis à nu. Deux mains saisissent ma jambe gauche, l’écartent et la soulèvent, deux autres prennent mon autre jambe et je me retrouve portée, jambes largement ouvertes, jupe remontée exposant ma chatte gonflée. J’ai cessé de me demander combien d’hommes m’entourent, je suis plus qu’un corps en fusion, un sexe avide et deux seins dressés. Une langue s’insinue dans les replis sacrés, explore rudement ma chair. Mais je veux plus, bien plus, je veux un membre dur qui me prenne brutalement, je veux les grands coups de boutoir qui me secouent. Je proteste, je réclame,
– Sshhh…
Les doigts du Maître s’insinuent dans ma bouche, prenant possession de ma langue. Je les suce avidement, je sais qu’il a entendu mon désir, qu’il va le combler, bientôt.
Lorsque la bouche entre mes cuisses me lâche, je sais que ma délivrance est proche et je sens enfin un sexe dur se frotter goulûment sur mon entrejambe. Je ne peux pas retenir mes cris, je le veux en moi, je n’en peux plus d’attendre. Enfin il plonge, me pénétrant profondément, d’un mouvement lent et délibéré. J’essaie d’imprimer un va-et-vient à mes hanches mais ceux qui me maintiennent m’immobilisent fermement et je ne peux pas bouger. L’homme qui me baise a saisi mes fesses, il les écarte en m’attirant à lui. Il donne enfin les coups de boutoir que j’attendais et je hurle ma jouissance. Le Maître a lâché ma bouche et je sens qu’il retire le plug que j’ai inséré sur son ordre. Je sens son sexe raide dans mon dos, entre mes fesses. Une main enduite de gel froid étale généreusement le lubrifiant et je sens sa queue s’enfiler dans mon cul dilaté. La sensation d’être prise à la fois par ma chatte et par mon cul est une extase, amplifiée par mon impuissance totale entre les mains impérieuses qui me tiennent. Les deux hommes qui me baisent accordent leurs mouvement et je ressens intensément leurs verges dures qui frottent délicieusement ma chair tendre, envoyant des spasmes dans tout mon corps. Je ne gémis plus, je hurle, je jouis. Derrière moi mon Maître gémit et crie, il explose dans mon cul que les spasmes de mon orgasme a resserré brutalement. Je supplie.
– Assez…
Les deux hommes se retirent, je sens qu’on me repose à terre mais les mains ne me lâchent pas et c’est aussi bien car je suis tremblante de l’intensité de mon plaisir et avec ces talons, je serai tombée. Le Maître ne lâche pas ma nuque, il n’en a pas fini. Je frissonne, je n’en peux plus, j’en veux encore. Les mains m’agenouillent, me penchent en avant. On dénoue le bandeau qui m’aveuglait et je cligne des yeux, surprise par la lumière soudaine. Quand je parviens à accommoder, je découvre devant moi un sexe à demi dressé, comme je les aime, pas trop long, assez large, tendre encore, que je vais pouvoir lécher voluptueusement. Gourmande, j’ouvre la bouche et l’homme avance ses hanches et me donne son membre à sucer. Je le sens vibrer sous ma langue, enfler et se réchauffer, devenir dur. La main du Maître sur ma nuque imprime le rythme, dès qu’il ralenti j’en profite pour insérer la pointe de ma langue dans tous les replis, titillant le frein, gobant le gland, enserrant la hampe.
Soudain entre mes fesses, une pression. Dur, froid, le plug est remis lentement dans son fourreau de chair. Devant moi, l’homme bande à présent si fort que ses mouvements saccadés blessent mon palais, je recule un peu et le Maître, toujours attentif, restreint l’amplitude des mouvements. Sa main se pose sur la verge gonflée et s’active, je suce goulûment le gland et je sens la sève monter. J’ouvre grand ma bouche avide et le Maître guide l’énorme sexe jusqu’au fond où il explose en un jet puissant et chaud. Le goût est doux, un peu salé et j’avale avec délices, sachant que le mouvement de déglutition est une caresse insupportable sur le gland qui se presse contre ma gorge. Je nettoie consciencieusement la hampe qui s’assouplit rapidement.
À nouveau les mains me saisissent, me soulèvent en me gardant dans cette posture de chienne en chaleur, le cul levé, offert. Une main se pose entre mes cuisses, bien à plat, masse doucement mon bouton à travers les lèvres gonflées. Le bandeau est replacé sur mes yeux et à nouveau le Maître m’offre une queue à sucer. La main sur ma chatte en feu à été remplacée par un sexe à l’érection phénoménale. Il se frotte entre mes replis, me laissant chaque fois croire qu’il va me pénétrer et chaque fois évitant l’ouverture brûlante pour frotter de toute sa longueur mes pétales humides. Cette torture est si délicieuse que j’en ai oublié le membre qui s’enfonce en rythme dans ma bouche et qui se rappelle à moi en éjaculant à son tour contre mes lèvres. Je les lèche quand enfin mon bourreau décide de me satisfaire et me pénètre enfin d’un seul coup puissant. Il me prend si complètement que je sens ses couilles fermes percuter mon clitoris. Ses grands coups reins appuient de l’intérieur sur le plug, stimulant des zones dont je ne soupçonnais pas l’existence, je ne sais plus si je jouis tant le plaisir monte en vagues, reflue pour monter plus haut encore, sans qu’il semble y avoir de limite. L’homme se retire soudain, laisse exploser son plaisir, inondant la fente de mon cul de sperme chaud. Je le sens couler entre mes replis et je suis reposée doucement sur une couche molle, recouverte d’une couverture douce et chaude. Seule la main du Maître s’attarde encore sur ma nuque et je le sens qui s’allonge près de moi. Sereine, je m’assoupis, comblée.
Quelques froufrous entendus dans mon demi sommeil m’indiquent le départ discret des participants, je sombre. Quand je me réveille enfin, le bandeau a disparu. Je m’étire, voluptueuse. Mes muscles protestent d’avoir été étirés dans des postures improbables. Je n’ai pas envie de bouger. Un mouvement, un souffle, un baiser se pose sur mes lèvres. Mon Maître est là et je déborde d’amour en me rappelant les détails de tout ce qu’il a mis en scène pour moi, chaque acte parfait, chaque désir comblé sans fausse note. Je le regarde dans un mot, laissant mes yeux exprimer mes sentiments. Il se lève et me fait signe, je m’extrais à contrecœur puis je le suis dans un méandre de couloirs. Je ne porte toujours que la jupe courte mais les sandales ont disparu et du chemisier déchiré je n’ai vu aucune trace. Nous entrons dans une salle de bain. Il ôte ma jupe et se déshabille rapidement. Le plug est toujours en place entre mes fesses et je commence à réaliser que ce n’est pas fini. Il m’attire dans la douche et nettoie tendrement chaque centimètre carré, rinçant délicatement les sécrétions qui rendent ma peau un peu collante. Je lui rends le même service et nous nous séchons. Nus, il m’entraîne à nouveau dans les couloirs…

À suivre

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